JUIN : Le Tour des livres de Jules Verne
Je poursuis le Challenge Les classiques c’est fantastique orchestré par Moka https://aumilieudeslivres.wordpress.com/ et Fanny https://pagesversicolores.wordpress.com/ avec l’œuvre de Jules Verne, Vingt mille lieues sous les mers, publiée en 1869.
1866. Le scientifique français Pierre Aronnax embarque à bord de l’Abraham Lincoln avec deux compagnons à la recherche d’une créature.
« Le doute n’était pas possible ! L’animal, le monstre, qui avait intrigué le monde tout entier, était un phénomène de main d’homme… Nous étions étendus sur le dos d’un immense poisson d’acier. »
Ce monstre d’acier n’est autre que le Nautilus. Sous-marin hors norme du Capitaine Nemo. Les trois hommes sont faits prisonniers. Contraints à une longue exploration sous-marine car le Capitaine Nemo se refuse de revenir à terre.
« La mer, disait-il, la mer est tout. C’est l’immense désert où l’homme n’est jamais seul, car il sent frémir la vie à ses côtés. La mer est le vaste réservoir de la nature. C’est par la mer que le globe a commencé, et qui sait s’il ne finira pas par elle ! Là est la suprême tranquillité. La mer n’appartient pas aux despotes. À sa surface, ils peuvent encore transporter toutes les horreurs terrestres, mais à trente pieds au-dessous de son niveau, leur pouvoir cesse. Ah ! monsieur, là seulement est l’indépendance ! là je ne reconnais pas de maîtres ! Là je suis libre ! »
Une œuvre que je qualifierais d’encyclopédie de la mer. Pavé ++. Jules Verne dresse de longues listes de créatures et de faune. Autant de descriptions qui m’ont perdue à certains moments. Et pour ce qui est du matériel, n’en parlons pas !
Avec Jules Verne, c’est l’aventure dans chaque œuvre nous le savons bien ! Une odyssée qui m’a permis de redevenir enfant le temps d’un instant où mon imagination a joué des turbines ! Je suis vraiment heureuse d’avoir enfin lu ce classique.