
Gallimard, parution août 2011, 266 pages
Le narrateur, veilleur de nuit dans un hôtel parisien et romancier à ses heures perdues, est confronté au décès soudain de son grand-père. Cet homme à qui il aurait aimé dire ‘je t’aime’ plus souvent. Quelque temps plus tard, sa grand-mère est placée contre sa volonté en maison de retraite et parvient à fuguer.
« La fuite ne pouvait qu’avoir un lien avec une tentative de retrouver la beauté. »
C’est à partir de ces évènements...
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