
Grasset Jeunesse, avril 2015, 214 pages
Mais quelle bêtise d’avoir attendu autant de mois, que dis-je d’années pour lire Hugo de la nuit. Tu as envie de me jeter des petits cailloux et tu as raison. Profil bas !
Dès le prologue, je plonge dans un univers sombre où un jeune garçon, Hugo, vient de mourir. « Hugo aurait dû ressentir de la peur, de la terreur même, à planer au-dessus du monde dans les bras d’un fantôme. L’enfant n’éprouvait pourtant qu’un sentiment d’abandon, tout au plus teinté d’une vague...
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